Tuesday, May 23, 2006

Compte à rebours ?

Plus que 7 jours en Bretagne ! Je quitte Rennes le 30 mai pour Lyon, que je quitterai de même le 2 juin tôt le matin pour prendre le train vers Vienne ! 15 heures de train en passant par la Suisse, avec un changement à Genève et Zürich ! Le départ de ce périple est à 7h30 du matin. J'arrive à Vienne aux alentours de 22h30 !
En plein dans les préparatifs, cette dernière semaine va passer super vite ! Ca fait bizarre, mais c'est finalement passionnant de partir comme ça à l'aventure en Autriche... il faudrait d'ailleurs que je commence à me soucier un peu plus de mon appart' là-bas !... J'ai toujours rien pour le mois de juin.
Le voyage va être superbe. J'espère qu'il fera beau, je verrai alors les Alpes autrichiennes en descendant la vallée de l'Inn... plein de belles choses à venir ! Les lignes droites des clochers rouges pointus des villages du Vorarlberg, le Château de Salzburg - il faudrait que je m'y arrête une fois ! - les champs de la vallée du Danube, puis Vienne, le Ring, le Burgtheater et l'architecture impériale k.u.k. !
Il n'y a en fait pas de compte à rebours. Tout va bien - l'adverbe a ici un sens fort particulier. Y a-t-il de l'aventure ? Le voyage me le dira...

Thursday, May 18, 2006

Pensée matinale.

« Sur le seuil de la porte, je regarde à gauche puis à droite. Personne. Je traverse. »

J’arrive alors sur les eaux,
Et l’onde régulière de la passerelle
Me donne la cadence des pas des gens
Que je distingue à peine dans ce brouillard de grêle.
Peu de bruit : seul un léger vent
Siffle entre les cordes du pont.
Je vois juste devant, j’avance à l’infini.

Des silhouettes de bateaux sont figées d’un gris uni
Se confondant au brouillard traversant le pont
Et aux eaux. Ma tête alors se vide
Et mon corps se remplit de la fraîcheur matinale.
Mon regard se tait, mes oreilles se ferment.
Et je marche. Pourquoi ? Où ? Je ne sais plus.
Mais je sais que tu me regardes,
Toi, là-haut, toi derrière moi, toi qui me gardes.

Gnou ?

Crépuscule, et mon sang circule
« Live » dans mes veines rayonnantes.
Et les faisceaux de lumière blanche
Sortent de mon cœur, puissants, heureux
Pour atteindre vos yeux éblouis.

Sunday, May 14, 2006

Mais où est Charlie ?

Trouvé ! Le dernier bout du pull de Charlie était sur mon balcon ! Il a été retrouvé de justesse dans la poubelle de Club Campus...


Eh oui, nous sommes allés le chercher dans les poubelles....


Pour une première sur mon blog, c'est sur, ça fait bizarre... Je rectifie directement avec....


... une photo plus distinguée de la grande GO du campus !
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La Girafe

Voici la nouvelle star depuis hier soir ! C'est Bussy la girafe !





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...désolé Christophe, Dominique, Gaël, etc, etc.

Tuesday, May 09, 2006

Sweetzerland !

April 27th, I went back to Switzerland with my family !... We went to Geneva,
and from there I went with my mother to Nyon, the small town where I lived until 8. We've had a lot of fun all day long.














Nyon: from the Migros Bricolage, you can see the high tower where I lived at the third floor... 42, Chemin d'Eysins !













On the shores of the lake of Geneva, still in Nyon...









The garden next to the tower, with its "storyfull" swings.









Nice view of the Jura from Nyon: the antenna on the right is called "la Barrillette", and on the left, you can see a white bowl: "la Dole"!

Friday, May 05, 2006

You want to call Mother Nature ?

Now you can do it easily. Just remember the address:


Blaise Pascal Road
Ker Lann City
KERLAND



Look just the pictures below to get an overview...



Mother Nature is funny and makes you laugh (or maybe it's because it's you Nel'? ;-) )



You don't need to hang up...




You can spend hours on the phone, it's not so costly !




You'll never get disappointed...




She'll always be here when you need her !

Thursday, May 04, 2006

Statuette Manhattan

Sous les toits en pente de la place Sainte-Anne
Oeuvre la femme au coeur de marbre Manhattan
L'âme sentinelle guettant la passion
Engourdit mon regard, fige mon attention

Je la vois dans un temple abandonnée aux Dieux
Je la vois la contemple, puisse paraître odieux
Sur le carreau déjà se dilue puis se noie
Mon divin, son Histoire, mon temple puis sa voix

Abasourdi et Noir esclave d'une toile
Je n'ai jamais cherché la joie dans les étoiles
Plus pure est Manhattan ce coeur de femme où gît
Les couleurs de la vie la griffe qui agit !

Les replis de la pierre enivrent ma douleur
Je suis un coeur serré vivant à cent à l'heure
Tandis que Manhattan n'a su des yeux pleurer
Déchirez les larmes mon esprit apeuré !