Une Nonne badine, de Marc Riboud. C'est le Paris des années 50 auquel je repense toujours lorsqu'il pleut en Septembre. La pluie, celle qui rappelle des moments que l'on n'a jamais vécu mais seulement imaginé, à travers les photos et les récits d'antan. Et Vienne en Septembre? Qu'est-ce qui ressort de ces jours à la couverture blanc cassé du ciel ?
Ici l'hiver est en train de s'approprier les rues du centre, s'amuse à glacer mes doigts lorsque je vais à sa rencontre, fait danser les premières feuilles tombées d'épuisement. Le Danube, grisé par le limon abondant, entraîne les notes viennoises vers Budapest et les régions tziganes. Les pavés brillent à la lumière des lampadaires, mouillés par la pluie fine qui s'abat le soir sur la ville.
Ici l'hiver est en train de s'approprier les rues du centre, s'amuse à glacer mes doigts lorsque je vais à sa rencontre, fait danser les premières feuilles tombées d'épuisement. Le Danube, grisé par le limon abondant, entraîne les notes viennoises vers Budapest et les régions tziganes. Les pavés brillent à la lumière des lampadaires, mouillés par la pluie fine qui s'abat le soir sur la ville.
Faut-il chercher la photo ? Y a-t-il überhaupt des photos ? Du noir et blanc typé Paris années 50 ? La réponse, dans quelques jours, ici même dans ce blog.
No comments:
Post a Comment