Par cœur
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Au milieu du grand parc, je guette, guette et enquête
Je te cherche, tu me trouves, je me languis sans toi
Sournois, les kilomètres nous séparent, sans voix
Je suis sans ton Amour l’ombre d’un cœur en quête
Au milieu du grand parc où les amants s’épanchent
Chaque arbre chaque branche inspire ta présence
Je te vois dans ce chêne aux feuilles vertes denses
Je crois être cinglé, tout mon univers penche !
Si l’avenir s’écrit, retrouvez donc les preuves !
Et si on le construit, portez donc un fauteuil !
Je ne veux plus courir en vain le doigt dans l’œil
Aveuglé, étranglé, épuisé des épreuves
Au milieu du grand parc où mes pas se confondent
Où les appels les cris pourrissent dans les tombes
Le rêve me poursuit, à l’infini je tombe
Et du chagrin renaît chaque fois une ronde
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Au milieu du grand parc, je guette, guette et enquête
Je te cherche, tu me trouves, je me languis sans toi
Sournois, les kilomètres nous séparent, sans voix
Je suis sans ton Amour l’ombre d’un cœur en quête
Au milieu du grand parc où les amants s’épanchent
Chaque arbre chaque branche inspire ta présence
Je te vois dans ce chêne aux feuilles vertes denses
Je crois être cinglé, tout mon univers penche !
Si l’avenir s’écrit, retrouvez donc les preuves !
Et si on le construit, portez donc un fauteuil !
Je ne veux plus courir en vain le doigt dans l’œil
Aveuglé, étranglé, épuisé des épreuves
Au milieu du grand parc où mes pas se confondent
Où les appels les cris pourrissent dans les tombes
Le rêve me poursuit, à l’infini je tombe
Et du chagrin renaît chaque fois une ronde
2 comments:
Cet ensemble de vers
Que j'ai trouvé très apaisant,
Magnifique et plaisant,
Méritait bien un commentaire.
Très beaux tous ces poèmes !
Tu parles d'un recueil ; tu vas être publié ?
Continue en tout cas, c'est très réussi.
Bises,
Amande
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