L’Art de la Peinture
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Gardienne de l’Histoire, velours dans l’Atelier
Tu poses sage et gaie, toi muse du passé.
Des grandes tragédies, je te vois je t’admire
Je te peins – mon plaisir ! A tes desseins j’aspire.
Tes cheveux couronne de laurier dictent espoir
Et passion dans l’Histoire. Je vois en ton Savoir
Une âme sentinelle, un regard sensuel
Que nulle autre muse ne tient pour éternel !
Par chance l’Homme est là. Sans douter il te croît
Il vénère ta voix ta prose ta diction.
De toutes tes paroles, il fait une chanson !
Clio tu dévisages un peintre qui te boit !
Et moi sage et assis je contemple la scène
Abasourdi, le drame antique du mécène.
1 comment:
Hey! Ca me fait penser au livre 'La jeune fille à la perle' (Girl with a Pearl Earring). C'est fou ce qu'on peut imaginer à partir d'un tableau.
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