Sometimes I wonder I spend
The lonely nights
Dreaming of a song
The melody haunts my reverie
And I'm once again with you...
The lonely nights
Dreaming of a song
The melody haunts my reverie
And I'm once again with you...
Ces paroles de stardust, que j'essaye en ce moment de jouer au saxophone, accompagnées de cette photo, me rappellent mon grand-père. La photo est floue, issue tout droit du rêve. C'est un magasin de pipes dans le 1er arrondissement.
Perché dans la brume au sommet du beffroi
Le Rathausmann contemple la place vide
La brume bute sur les yeux humides et
La fraîcheur du matin masque l'architecture saillante
De ce bâtiment-fête. Il est huit heures.
De là-haut, il voit les livreurs investir l'Innere Stadt
Les derniers fêtards enivrés par l'alcoolique rosée
Monter dans le tram aux vitres embuées
Il voit les fumées des toits et sent le bois
Crépiter dans les foyers. L'automne est froid.
En bas dans le parc, quelques moineaux cherchent refuge
Dans un tas de feuilles mortes entassées entre deux bancs
Nature morte - et cette vie incessante autour !
L'Homme des villes passe sans voir - speedé
Par ce monde virtuel. Il traverse. La place est vide.
Le Rathausmann contemple la place vide
La brume bute sur les yeux humides et
La fraîcheur du matin masque l'architecture saillante
De ce bâtiment-fête. Il est huit heures.
De là-haut, il voit les livreurs investir l'Innere Stadt
Les derniers fêtards enivrés par l'alcoolique rosée
Monter dans le tram aux vitres embuées
Il voit les fumées des toits et sent le bois
Crépiter dans les foyers. L'automne est froid.
En bas dans le parc, quelques moineaux cherchent refuge
Dans un tas de feuilles mortes entassées entre deux bancs
Nature morte - et cette vie incessante autour !
L'Homme des villes passe sans voir - speedé
Par ce monde virtuel. Il traverse. La place est vide.
No comments:
Post a Comment