In Lyon ist es am Schönsten bei Nacht, wenn Hundegackerl nicht mehr zu sehen sind! Die Stadtgemeinde Grand Lyon hat die Stadt mit guter Beleuchtung besorgt, zuerst, damit man Hundekot in der Nacht ausweichen kann, aber auch - und die Fotos zeigen dies - damit die Sehenswürdigkeiten schön aufscheinen. Lassen wir uns über die Stadt schweben...
Monday, December 29, 2008
Sunday, December 28, 2008
Sunday, December 21, 2008
Monday, December 15, 2008
Vorweihnachtswahnsinn
Einen Sonntag unter dem Motto "alles närrisch"! Die Runde von den schönsten Christkindlmärkten innerhalb von einem Nachmittag und von den besten Cafés und Szenenlokalen innerhalb von einem Abend.
Saturday, December 13, 2008
Hollywood ending
A great movie with a lovely ending: "An affair to remember". I found the endings of two different releases. The first clip is from 1939, with the French actor Charles Boyer. The second clip is from 1957, with Cary Grant and Deborah Kerr. Enjoy and do not forget your handkerchief!
Thursday, December 11, 2008
Gut tun tut gut!
Bitte seid zu Weihnachten warmherzig und unterstützt die Petition gegen die GIS-Gebühr !
HIER KLICKEN UND UNTERSCHREIBEN : http://www.weg-mit-den-orf-gebuehren.at/
Danke!
Tuesday, December 09, 2008
Quand la moutarde me monte au nez...
Vous la connaissez bien, la moutarde de Dijon. Voila que le groupe Amora-Maille, lui-même appartenant à la multinationale Unilever, veut fermer l'usine de Dijon, pour des raisons uniquement économiques. N'est-ce pas là un affront à l'histoire et à l'humanité?
Je ne connais aucun chiffre. Peut-être que l'usine de Dijon n'est pas aussi productive que d'autres usines? Sans doute produire la moutarde "de Dijon" en Chine, ou en Europe de l'Est et en Turquie comme Unilever le fait déjà, revient moins cher. Mais en ce cas, à quoi bon appeler la moutarde de Dijon, si la ville de Dijon n'a plus rien à voir avec la production?
On est dans une phase du capitalisme qui me déplaît et me fait monter la moutarde au nez! Cela me rappelle l'histoire des herbes de Provence qui en fait poussent dans des serres en Pologne. Les gens n'auraient-ils donc aucune implication sentimentale dans ce qu'ils font?
Je veux bien croire que les actionnaires de Unilever, qui se prélassent au soleil californien entre Santa Monica et Beverly Hills, portent peu d'intérêt à ce problème de lien sentimental à ce qu'on produit: ils touchent des dividendes de Unilever, et se réjouissent des bons résultats, quoique l'on fasse pour les obtenir. Et je vois ce problème qui chaque jour devient plus grand et m'indigne d'avoir à travailler pour une entreprise: les objectifs des entreprises se détachent de plus en plus des objectifs de l'humanité, car on est passé d'un capitalisme entrepreneur à un capitalisme financier. Sans doute l'écart entre les deux objectifs n'a jamais été aussi grand que depuis ces dernières années. On fixe nos yeux sur les indicateurs boursiers et on fait par conséquent n'importe quoi. Sur ce, je vais me faire un bon steak aux herbes sauce moutarde, histoire de me calmer.
Je ne connais aucun chiffre. Peut-être que l'usine de Dijon n'est pas aussi productive que d'autres usines? Sans doute produire la moutarde "de Dijon" en Chine, ou en Europe de l'Est et en Turquie comme Unilever le fait déjà, revient moins cher. Mais en ce cas, à quoi bon appeler la moutarde de Dijon, si la ville de Dijon n'a plus rien à voir avec la production?
On est dans une phase du capitalisme qui me déplaît et me fait monter la moutarde au nez! Cela me rappelle l'histoire des herbes de Provence qui en fait poussent dans des serres en Pologne. Les gens n'auraient-ils donc aucune implication sentimentale dans ce qu'ils font?
Je veux bien croire que les actionnaires de Unilever, qui se prélassent au soleil californien entre Santa Monica et Beverly Hills, portent peu d'intérêt à ce problème de lien sentimental à ce qu'on produit: ils touchent des dividendes de Unilever, et se réjouissent des bons résultats, quoique l'on fasse pour les obtenir. Et je vois ce problème qui chaque jour devient plus grand et m'indigne d'avoir à travailler pour une entreprise: les objectifs des entreprises se détachent de plus en plus des objectifs de l'humanité, car on est passé d'un capitalisme entrepreneur à un capitalisme financier. Sans doute l'écart entre les deux objectifs n'a jamais été aussi grand que depuis ces dernières années. On fixe nos yeux sur les indicateurs boursiers et on fait par conséquent n'importe quoi. Sur ce, je vais me faire un bon steak aux herbes sauce moutarde, histoire de me calmer.
Nouveau type de vers?
La laideur
Elle se déguise et s'immisce dans les coeurs
La laideur
Profond sentiment de dégoût je me hais
je me hais
Je crains dans le regard des autres me voir
Le miroir
Qui piétine raille et soupire attentif
Pendentif
Pendule temporel aux couleurs criardes
Schiele hard !
____
Le pêcher
Son fruit a la peau velue et sucrée
Le pêcher
Pêche d'Adam, pêcher originel
Passionnel
Je chante ta douceur sur mes papilles
A Séville
Où la chaleur emprisonne mon coeur
Sonne l'heure
Sur les clochers rougis par le soleil
Je m'éveille !
Elle se déguise et s'immisce dans les coeurs
La laideur
Profond sentiment de dégoût je me hais
je me hais
Je crains dans le regard des autres me voir
Le miroir
Qui piétine raille et soupire attentif
Pendentif
Pendule temporel aux couleurs criardes
Schiele hard !
____
Le pêcher
Son fruit a la peau velue et sucrée
Le pêcher
Pêche d'Adam, pêcher originel
Passionnel
Je chante ta douceur sur mes papilles
A Séville
Où la chaleur emprisonne mon coeur
Sonne l'heure
Sur les clochers rougis par le soleil
Je m'éveille !
Monday, December 08, 2008
Wiener Skyline im Winter
Tuesday, December 02, 2008
Neue Mode für die Stewardessen von Austrian Airlines
Jeder hat gedacht, die Fluglinie Austrian Airlines macht Pleite. Und das ist ja richtig. Aber Pleite kann man arm und traurig machen oder kühner und modisch. Für die letztere Variante hat sich unsere Fluglinie entschieden. Schaut mal die Szene, das ich während meiner Rückreise aus Paris im Flugzeug geknipst habe. Auf den Bildschirmen stand -60°c draußen, 40°c drinnen!
Monday, December 01, 2008
Im Tempel des Konsums - Teil 2
Einkaufen bringt Freude, Hochstimmung, Euphorie! Der Dunst, der aus dem Einkaufswagerl verströmt wird, bringt eine unkonventionnelle Happiness. Während man ordentlich zur Kassa gehen könnte, wird man plötzlich voller Fantasie. Schokolade, Salami, Käse! So viele gute Sachen haben wir jetzt gekauft! Maschu maschu! Die Neonlichter beleuchten unseren Wahn. Aber das Tageslicht ist nicht sehr weit und weist uns den richtigen Weg: wir verlassen den Supermarkt oder der Supermarkt käuert uns wieder. Undefinierbar. Wir sind draußen, es ist das Wichtigste.
Im Tempel des Konsums
Letzten Samstag haben wir einen Ausflug ins Tempel des Konsums gemacht: METRO. Ganz angeregt waren wir vor dem Hineingehen! Und dann haben wir uns in den verschiedenen Abteilungen verloren... oder ist es eine Art Versteckspiel? Die Dosen sind manchmal soooo groß und dick und hoch, daß sie ein ganzes Stück meines weißen Leibs (um die Worten Salomes hier hineinzubringen) verstecken können!
Wer ißt und was wird gegessen?... Sagt man nicht, du bist, was du ißt? Es ist etwas verwirrend. Der Supermarkt hat uns verschlungen. Wie kommt man davon hinaus? Ganz einfach: jeder weiß, daß die Reinigungsmittel beim Ausgang sind. Sobald diese Abteilung erreicht ist, ist man gerettet.
Die Riesengurken in Riesenglasbehälter!
Riesengeklopftewienerschnitzel gebrauchen Riesenöldosen!
Arroganz á la francaise
Es ist kein Zufall, wenn die französischen klassischen Theaterstücke eine Vielfältigkeit von Gefühlen darstellen. Franzosen sind ja sehr gut dran, wenn es um Gefühle geht. Es gibt sogar, meiner Meinung nach, Gefühle, die man nur in einem bestimmten Ort empfinden kann. Normalerweise denkt man sofort an Sehnsucht, Freude, ich meine aber hier Arroganz.
Nicht später als während meiner letzten Reise in Frankreich habe ich ein Gefühl bekommen, dass ich bisher nur in Frankreich bekam. Es ist eine Mischung zwischen Arroganz und Verachtung, Gleichgültigkeit und Niederträchtigkeit. Es passiert wenn jemand, dessen Tat Ihnen etwas wichtig ist, Sie nicht so gern hat, sagt es aber nicht, und spricht zum Beispiel mit Anderen, die nebenbei sitzen, über Sachen, die Sie auch betreffen, tut aber so, als ob Sie nicht da oder nicht betroffen wären. So eine verzwickte Situation findet man nur in Frankreich!... und es ist besonders unangenehm, sowas zu erleben.
In Österreich ist mir so etwas bis jetzt nie passiert, wahrscheinlich, da die Österreicher allgemein gesehen ehrlicher sind!
Nicht später als während meiner letzten Reise in Frankreich habe ich ein Gefühl bekommen, dass ich bisher nur in Frankreich bekam. Es ist eine Mischung zwischen Arroganz und Verachtung, Gleichgültigkeit und Niederträchtigkeit. Es passiert wenn jemand, dessen Tat Ihnen etwas wichtig ist, Sie nicht so gern hat, sagt es aber nicht, und spricht zum Beispiel mit Anderen, die nebenbei sitzen, über Sachen, die Sie auch betreffen, tut aber so, als ob Sie nicht da oder nicht betroffen wären. So eine verzwickte Situation findet man nur in Frankreich!... und es ist besonders unangenehm, sowas zu erleben.
In Österreich ist mir so etwas bis jetzt nie passiert, wahrscheinlich, da die Österreicher allgemein gesehen ehrlicher sind!
Thursday, November 20, 2008
Alex dans le métro
Après Zazie, c'était à mon tour d'aller dans le métro (sauf que moi, j'ai réussi à y aller!). Et qu'ai-je vu dans le métro? Des pubs et des pubs, mais aussi des pubs plus marrantes que d'autres, comme c'est le cas de celle-ci en photo! En plus, c'était pour moi une révélation: Rachida Dati est enceinte!?!...
Wednesday, November 19, 2008
La grande oeuvre de Jacob
C’était pendant les années Klimt de Vienne, alors que l’Art Nouveau faisait ses premières expositions en Ville. Jacob savait qu’il ne vivrait probablement pas le changement de siècle. Après une longue vie remplie par tant d’heureux événements, il était temps, pensait-il sagement, de transmettre tout ce que la vie lui avait enseigné. Son fils Moritz avait repris le magasin de vêtements avec sa femme voilà quelques années, et les affaires prospéraient. Jacob était un juif progressif et avait éduqué son fils de façon à ce qu’il s’assimile entièrement à la société autrichienne.
Cependant, c’est avec beaucoup d’embarras qu’il constata avoir déjà tout donné : il avait passé sa vie à faire découvrir et à enseigner. Il ne pouvait plus rien apprendre de nouveau à son fils ! Que va-t-il rester dans les mémoires ? En passant ma vie à donner, me voici incapable de laisser un souvenir impérissable, puisque ma vie se confond finalement à celle de mon propre enfant ! Ce sentiment le dérangea, puis petit à petit le troubla à tel point qu’il en fit part à son fils.
Moritz ne sut que répondre. Il était abasourdi qu’un tel problème se pose à son cher père. Il en parla alors à sa femme. Elle était dotée d’un véritable sens de la famille. Moritz savait qu’il pouvait compter sur elle. Elle lui répondit avec sagesse : « transmettre le savoir familial n’est pas quelque chose d’instantané. C’est le travail de toute une vie, de celle de ton père. Organisons une fête pour saluer son œuvre ! »
C’est ainsi que Moritz se rendit chez le rabbin, qui approuva cette idée originale.
Tous se réunirent pour l’occasion : la famille proche à Vienne, les cousins de Hongrie du côté de Fünfkirchen et de Budapest. La communauté du 6ème arrondissement autour du rabbin prit aussi part à la fête. Ce soir-là, Jacob était ravi et comprit que l’œuvre de toute sa vie resterait dans les mémoires. Je peux partir sereinement, pensa-t-il alors.
C’est ce soir-là qu’il ferma les paupières pour la dernière fois, un sourire éternel inscrit sur le visage.
Cependant, c’est avec beaucoup d’embarras qu’il constata avoir déjà tout donné : il avait passé sa vie à faire découvrir et à enseigner. Il ne pouvait plus rien apprendre de nouveau à son fils ! Que va-t-il rester dans les mémoires ? En passant ma vie à donner, me voici incapable de laisser un souvenir impérissable, puisque ma vie se confond finalement à celle de mon propre enfant ! Ce sentiment le dérangea, puis petit à petit le troubla à tel point qu’il en fit part à son fils.
Moritz ne sut que répondre. Il était abasourdi qu’un tel problème se pose à son cher père. Il en parla alors à sa femme. Elle était dotée d’un véritable sens de la famille. Moritz savait qu’il pouvait compter sur elle. Elle lui répondit avec sagesse : « transmettre le savoir familial n’est pas quelque chose d’instantané. C’est le travail de toute une vie, de celle de ton père. Organisons une fête pour saluer son œuvre ! »
C’est ainsi que Moritz se rendit chez le rabbin, qui approuva cette idée originale.
Tous se réunirent pour l’occasion : la famille proche à Vienne, les cousins de Hongrie du côté de Fünfkirchen et de Budapest. La communauté du 6ème arrondissement autour du rabbin prit aussi part à la fête. Ce soir-là, Jacob était ravi et comprit que l’œuvre de toute sa vie resterait dans les mémoires. Je peux partir sereinement, pensa-t-il alors.
C’est ce soir-là qu’il ferma les paupières pour la dernière fois, un sourire éternel inscrit sur le visage.
Glamour bei den Galeries Lafayette
Nun, was für tolle Geschäfte gibt es in Frankreich nicht! Die Galerie Lafayette riechen nach französischem Glamour und es gefäääääällt mir so sehr! Letztes Wochenende habe ich die Weihnachtsschaufenster angeschaut. Es ist unheimlich modisch und französisch... Kann hemmungslos genossen werden! :-)
Sunday, November 09, 2008
70 Jahre nach den Novemberpogromen: Besichtigung des Währinger Friedhofs
Bilder aus dem jüdischen Friedhof in Währing...
Friday, November 07, 2008
Diese Österreicher, die in Österreich nicht integriert sind...
Am Abend der ORF-Wahlnacht ist ein alter Journalist in Pension, Klaus Emmerich, mit Aussagen über Schwarze und Barack Obama aufgefallen... "ich möchte mich nicht von Schwarzen dirigieren lassen", "das wäre gleich als wir in Österreich ein Türke an die Macht setzen würden" uvm. rohe, unerträgliche und unzulässige Aussagen sind vorgebracht worden. Warum er aus der Studiobühne nicht rausgeschmießen worden ist bleibt noch unklar.
Vorgestern, als ich im Supermarkt war, hat eine alte etwas dickleibige Frau angefangen, eine Türkin bei der anderen Kassa gegenüber zu beschimpfen. Warum? Das weiß ich nicht. Ich war beim Zusammenstoß nicht da. Zuerst hab ich mir gedacht, die alte Frau sei etwas bescheuert und brauche Medikamente gegen Schizophrenie. Dann höre ich die Türkin gegenüber sagen: "Ent-schul-digung!". Die alte Frau: "Des ko ned san, des ma so a frech a Sproche hot...." Und die Türkin wieder, nach ein paar Sekunden: "Du, ich hab Entschuldigung gesagt!..." Die alte Frau: "Na, und sie is dozue unhöflich, ned, vielleucht sog ma du bei eich doat in die Tüakei, oba hie in Östeareich tu ma di Leit ned so ansprechn..." uvmB. (und viel mehr Blödsinn!). Ich war gleich beim Zahlen, als alles geschah... und wollte irgendwie, dass diese Kakophonie zu Ende kommt, hab aber den Mund zugehalten, was ich mir jetzt wirklich vorwerfe. Und warum haben die Leute um mich auch nichts gesagt? Alle haben so getan, als würden sie nicht einmal bemerken, was da passiert... Ist das nicht sinnlos? Nächstes Mal sage ich schon was wie "du Schastrommel, halt mal die Klappe!"... oder etwas höflicher, damit meine empfindlichen Ohren sich dieses Schmarrn sparen können.
Und jetzt stolpert man über das größte Problem, das in Österreich ca. 30% der Bevölkerung betrifft: Integration! Wie kann man jene Österreicher integrieren, die Österreicher ausländischer Herkunft nicht leiden können? Da steht die Politik ohne Antwort. Das Problem haben sie wahrscheinlich nicht einmal gefasst.
Vorgestern, als ich im Supermarkt war, hat eine alte etwas dickleibige Frau angefangen, eine Türkin bei der anderen Kassa gegenüber zu beschimpfen. Warum? Das weiß ich nicht. Ich war beim Zusammenstoß nicht da. Zuerst hab ich mir gedacht, die alte Frau sei etwas bescheuert und brauche Medikamente gegen Schizophrenie. Dann höre ich die Türkin gegenüber sagen: "Ent-schul-digung!". Die alte Frau: "Des ko ned san, des ma so a frech a Sproche hot...." Und die Türkin wieder, nach ein paar Sekunden: "Du, ich hab Entschuldigung gesagt!..." Die alte Frau: "Na, und sie is dozue unhöflich, ned, vielleucht sog ma du bei eich doat in die Tüakei, oba hie in Östeareich tu ma di Leit ned so ansprechn..." uvmB. (und viel mehr Blödsinn!). Ich war gleich beim Zahlen, als alles geschah... und wollte irgendwie, dass diese Kakophonie zu Ende kommt, hab aber den Mund zugehalten, was ich mir jetzt wirklich vorwerfe. Und warum haben die Leute um mich auch nichts gesagt? Alle haben so getan, als würden sie nicht einmal bemerken, was da passiert... Ist das nicht sinnlos? Nächstes Mal sage ich schon was wie "du Schastrommel, halt mal die Klappe!"... oder etwas höflicher, damit meine empfindlichen Ohren sich dieses Schmarrn sparen können.
Und jetzt stolpert man über das größte Problem, das in Österreich ca. 30% der Bevölkerung betrifft: Integration! Wie kann man jene Österreicher integrieren, die Österreicher ausländischer Herkunft nicht leiden können? Da steht die Politik ohne Antwort. Das Problem haben sie wahrscheinlich nicht einmal gefasst.
Sunday, November 02, 2008
Thursday, October 30, 2008
Stardust
Sometimes I wonder I spend
The lonely nights
Dreaming of a song
The melody haunts my reverie
And I'm once again with you...
The lonely nights
Dreaming of a song
The melody haunts my reverie
And I'm once again with you...
Ces paroles de stardust, que j'essaye en ce moment de jouer au saxophone, accompagnées de cette photo, me rappellent mon grand-père. La photo est floue, issue tout droit du rêve. C'est un magasin de pipes dans le 1er arrondissement.
Perché dans la brume au sommet du beffroi
Le Rathausmann contemple la place vide
La brume bute sur les yeux humides et
La fraîcheur du matin masque l'architecture saillante
De ce bâtiment-fête. Il est huit heures.
De là-haut, il voit les livreurs investir l'Innere Stadt
Les derniers fêtards enivrés par l'alcoolique rosée
Monter dans le tram aux vitres embuées
Il voit les fumées des toits et sent le bois
Crépiter dans les foyers. L'automne est froid.
En bas dans le parc, quelques moineaux cherchent refuge
Dans un tas de feuilles mortes entassées entre deux bancs
Nature morte - et cette vie incessante autour !
L'Homme des villes passe sans voir - speedé
Par ce monde virtuel. Il traverse. La place est vide.
Le Rathausmann contemple la place vide
La brume bute sur les yeux humides et
La fraîcheur du matin masque l'architecture saillante
De ce bâtiment-fête. Il est huit heures.
De là-haut, il voit les livreurs investir l'Innere Stadt
Les derniers fêtards enivrés par l'alcoolique rosée
Monter dans le tram aux vitres embuées
Il voit les fumées des toits et sent le bois
Crépiter dans les foyers. L'automne est froid.
En bas dans le parc, quelques moineaux cherchent refuge
Dans un tas de feuilles mortes entassées entre deux bancs
Nature morte - et cette vie incessante autour !
L'Homme des villes passe sans voir - speedé
Par ce monde virtuel. Il traverse. La place est vide.
Saturday, October 25, 2008
Lettre à la Prison ou la non-intégration en France
Un film français de 1969-70 qui à l'époque n'a pas eu de succès, de Marc Scialom. Aujourd'hui, il ressort et fait sensation: il raconte la perte d'identité qui s'opère chez les émigrants du Maghreb, lorsqu'ils arrivent à Marseille, et notamment le racisme, la peur, le mépris? des Français. J'ai lu dans une critique que ce film dépeint une situation qui pourrait être filmée dans les villes françaises aujourd'hui encore. C'est très vrai. Bien qu'en mauvais état, le film est à prendre par bribes, se comprend par bribes. On obtient une image de la société française de l'époque un peu comme Picasso peignait ses scènes, le reste du travail est fait par notre cerveau. Ce film est clairement impossible à digérer si on le mange cru. C'est un film qui doit mijoter longtemps dans le cerveau pour que son jus ressorte avec encore plus de goût! Et avec ce temps de mijotage, on se pose ce genre de questions: la perte d'identité, son émiettement semble être une raison de la non-intégration des gens, parallèlement au mépris de la population locale. Y aurait-il eu meilleure intégration, dans le cas de la France, si le Gouvernement à l'époque avait, par le moyen des écoles, rendu possible l'appropriation de ses origines?
Le régisseur a partiellement répondu à ma question: les enfants des enfants d'immigrés ne parlent ni la langue de leur origine - l'arabe - et ne maîtrise finalement pas le français, à cause de ce rejet persistant de la culture du "pays d'accueil" - bien que dans le cas français, il s'agit en fait du pays de naissance et non d'un pays d'accueil, mais ce n'est pas ressenti ainsi par ces enfants d'immigrés. Un signe de très mauvaise réponse du Gouvernement à cette intégration: le système éducatif propose comme langues l'allemand, l'anglais et l'espagnol en langues obligatoires. Pourquoi l'arabe n'est-il pas proposé? Il n'y a aucun cour d'approfondissement de la culture arabe, même pas une option facultative!
Il est clair que l'éducation nationale doit favoriser la connaissance de la culture nationale. Cela ne signifie pas faire l'impasse sur les autres cultures. Apprendre les règles de grammaire de l'arabe, maîtriser la langue de la maison et en comprendre sa structure, est sûrement un atout pour ensuite apprendre le français et accepter sa grammaire aussi.
On ne peut conclure de manière optimiste sur ce sujet. Ce questionnement sur l'intégration et plus que l'intégration, l'assimilation, aurait dû avoir lieu au plus tard il y a 30 ans. Maintenant, il est trop tard, et vous remarquerez qu'un tel débat n'existe toujours pas, ou alors se construit sur de fausses bases: s'intégrer veut dire "faire soi les valeurs du pays d'accueil", ce qui est pour moi un non-sens au simple coup d'oeil.
Sunday, October 19, 2008
Sicko or the disaster of liberalism in the American healthcare system
This is another great film by Michael Moore about the American health care industry compared to Canada, the UK, France and... Cuba. It is amazing to note that in the world's richest nation there is no free healthcare, and even for the people which have an insurance, insurers most of the time find a "pre-existing condition" to say to their "clients" that they will not get a buck for the healthcare they received. At the end, you have a totally biased system that focuses on money and profits instead of focusing on healthcare. You have insurance companies that make higher profits every year, CEOs that earn more than 2 billion dollars a year for their crap, a huge lobby that makes sure nothing is gonna change. Isn't it crazy? A big machinery working against the health of 300 millions of people. It is a bit like Hollywood films, that must be American to be true. So is it. What about the ideology of liberalizing the economy?!
The funny side of the movie is when Moore goes across the Atlantic ocean and comes to London first, and then to Paris. He meets a group of Americans that live in Paris. They say something that is worth of being mentioned: in France, the government fears the population, and the population does not hesitate to take to the streets and to shout its disapproval. Whereas in the US, people fear the government!
These Americans are glad to live in France and feel sometimes embarrassed when they see that their parents cannot afford medical care in the US. In France, everything is free. When you are pregnant, you get home help for free two days a week. When you are sick, you get free days as long as you are sick and in case of a serious disease, you even get few months to recover if needed, and still get paid 100% of your wage during that time. If you get sick, you can call a doctor that will come in less than one hour to your home, and that's still for free!
In the UK, the NHS was built up after the Second World War, in 1948. Since that time, no political party has ever thought of abolishing it. Healthcare works very well.
During that time, you see terrible stories happening in the US, namely the story of a guy which got two of his fingers cut and was told at the hospital, he's got to pay 12000 dollars for the ring finger and 60000 dollars for the middle finger. So he paid only 12000 dollars for the ring finger and now lives with a "smaller" middle finger. How can it be possible to put a price on parts of its own body? (that's the question his wife is asking, totally confused)
These Americans are glad to live in France and feel sometimes embarrassed when they see that their parents cannot afford medical care in the US. In France, everything is free. When you are pregnant, you get home help for free two days a week. When you are sick, you get free days as long as you are sick and in case of a serious disease, you even get few months to recover if needed, and still get paid 100% of your wage during that time. If you get sick, you can call a doctor that will come in less than one hour to your home, and that's still for free!
In the UK, the NHS was built up after the Second World War, in 1948. Since that time, no political party has ever thought of abolishing it. Healthcare works very well.
During that time, you see terrible stories happening in the US, namely the story of a guy which got two of his fingers cut and was told at the hospital, he's got to pay 12000 dollars for the ring finger and 60000 dollars for the middle finger. So he paid only 12000 dollars for the ring finger and now lives with a "smaller" middle finger. How can it be possible to put a price on parts of its own body? (that's the question his wife is asking, totally confused)
At the end, you see that the prisoners of Guantanamo in Cuba are better off than most Americans. And more than this, Moore goes to Cuba with few American citizens who worked as volunteers on Ground Zero and got ill because of it, to the hospital there, where they got a diagnose and a treatment for free - sic! A Cuban woman says that countries have to concentrate their effort on providing their citizens with healthcare, and the richer the country is, the more healthcare should be provided. Don't you think that these words are the most basic words ever heard? I think it is very wise, and you do not have to be graduated in economics to be able to say it. More than this, those graduates usually forget that kind of basic or common words, words that should not even be written down coz' they should be clear for everybody.
So this is how the film ends... leaving you alone - small citizen of the world - alone in your fears and in your dreams for a better world. You get to realize, bit by bit, how the world is manipulated by a few influencing persons, a few lobbies. What would healthcare in America look like if the Insurance industry were not giving a mass of money to the political parties for their campaigns? How would the world look like if there were no pressure from multinational companies over the different NG organizations? Well, it would certainly be worse for the dudes which are at the top of the machinery, which is to say less than 1% of the world population. That is why those guys have to keep vagueness about the way they impact the world's politics and economy, they have to keep people quite satisfied with what they have, so that they do not complain and ask for more.
The times are changing. Crises, wealthy crappy CEOs, the sour impression that some people do not deserve their position. Economic despotism is showing its limits. We have come to the point where most people are aware of the unfairness of the system. If we do not adapt it, it will disappear by itself. And at that time, the only countries that will go through the huge crisis of the mode of production will be amongst others African countries and Cuba!
To watch the movie, here is a link: http://vidics.com/vidics.php?id=1571. Have fun watching it!
So this is how the film ends... leaving you alone - small citizen of the world - alone in your fears and in your dreams for a better world. You get to realize, bit by bit, how the world is manipulated by a few influencing persons, a few lobbies. What would healthcare in America look like if the Insurance industry were not giving a mass of money to the political parties for their campaigns? How would the world look like if there were no pressure from multinational companies over the different NG organizations? Well, it would certainly be worse for the dudes which are at the top of the machinery, which is to say less than 1% of the world population. That is why those guys have to keep vagueness about the way they impact the world's politics and economy, they have to keep people quite satisfied with what they have, so that they do not complain and ask for more.
The times are changing. Crises, wealthy crappy CEOs, the sour impression that some people do not deserve their position. Economic despotism is showing its limits. We have come to the point where most people are aware of the unfairness of the system. If we do not adapt it, it will disappear by itself. And at that time, the only countries that will go through the huge crisis of the mode of production will be amongst others African countries and Cuba!
To watch the movie, here is a link: http://vidics.com/vidics.php?id=1571. Have fun watching it!
Saturday, October 18, 2008
Herbst in Schönbrunn
Der Herbst hat sich in Schönbrunn auch eingeladen. Alles ist jetzt Gold und Wein, ein Vergnügen fürs Auge des Fotoamateurs!
Monday, October 13, 2008
Herbst am Campus
Heute war ich am Campus der Uni. Die Farben sind dort so schön, das mußte ich in meinem Blog berichten. Und dieser Herbst kommt mit seiner Dosis an Schwermut! Das ist ja das Schöne an Herbst.
Ideen fallen mir ein wie Blätter fallen von den Bäumen.
Mein farbiges Gesicht spiegelt die Jahreszeit wieder und das Einzige,
Dass ich noch kann, ist lächeln. Umsonst und mühelos,
Ohne mich anzustrengen, in Ohnmacht oder nur bewusstlos
Geh ich auf die Alleen wie Geist durch die Seelen.
Blätter fallen, federleicht in der stillen Luft des Morgenrots
Streichen sanft die Haut und das Herz. Es ist wohl Herbst.
Mein farbiges Gesicht spiegelt die Jahreszeit wieder und das Einzige,
Dass ich noch kann, ist lächeln. Umsonst und mühelos,
Ohne mich anzustrengen, in Ohnmacht oder nur bewusstlos
Geh ich auf die Alleen wie Geist durch die Seelen.
Blätter fallen, federleicht in der stillen Luft des Morgenrots
Streichen sanft die Haut und das Herz. Es ist wohl Herbst.
Wo der Brunnen im Garten plätschert...
Allmählich jagt der Herbst den Sommer. Die Bäume ziehen ihre Herbstkleidung an, und Wien schaut schon ganz anders aus, etwas müde aber auch entspannt. Es ist jetzt Zeit, sich für den kommenden Winter vorzubereiten. Im Volksgarten saugen die Rosensträuche den Boden und finden doch noch einen Grund zu blühen.
Friday, October 10, 2008
Subprime crisis - im Restaurant
Im Wiener Dialekt ist ein Restaurant auch Wirtschaft genannt. Es ist eigentlich ein tolles Konzept zum Nachdenken... Stellen Sie sich vor, Sie haben in einem netten Lokal Bierflaschen mit ein paar Freunden bestellt, zum Beispiel 16er Blech, und die Bierdeckel liegen immer noch auf dem Tisch. Sie bilden mit den Deckeln eine Figur wie ein Kartenhaus. Das ist ein Finanzmarkt. Natürlich sind Sie etwas berauscht, Sie merken nicht, wie viele Bierdeckel es gibt. Sie schweben in einer anderen Dimension und Sie fühlen sich wohl und wohlhabend. Aber die Realität ist doch anders und plötzlich stürzt das Bierdeckelhaus in sich zusammen, genau wie ein Kartenhaus! Ein paar Bierdeckel sind auf den Boden heruntergefallen und sind verloren. Es gibt jetzt auf dem Tisch ein Chaos, weniger Bierdeckel und immer so viele Haberer. Das ist die Krise. Die Bierdeckel sind Kohle. Es hat vor der Krise große Haufen Geld gehabt, die eigentlich nur virtuell waren. Jetzt gibt es sogar weniger als am Anfang, bevor das Bierdeckelhaus gebaut worden ist. Das ist Rezession.
Hervorragend was Bierdeckel nicht alles darstellen können. Man denkt nicht daran, wenn man im Beisl knotzt, dass der Weltverstand dahinter steckt!
Hervorragend was Bierdeckel nicht alles darstellen können. Man denkt nicht daran, wenn man im Beisl knotzt, dass der Weltverstand dahinter steckt!
Wednesday, October 01, 2008
In My's kitchen
Ca y est, a peine a-t-on le dos tourné que la My nous prépare de bons petits plats... Ca se passe dans la cuisine de My, in My's kitchen, et en plus elle me laisse y entrer pour que j'écrive de temps en temps mes recettes et mes tests culinaires... Ca se passe ici et est naturellement à lire sans modération!
Des KHMs und der Politik
Letzten Sonntag war ich im Kunsthistorischen Museum und habe mir die Antikensammlung angechaut. Wussten Sie schon, dass Wien unter dem römischen Reich Vindobona geheißen hat? Ljubljana hat Emona geheißen, daher kommt der Name vom EuroCity Zug zwischen beiden Städten: Emona.
Und dort, zwischen Emona und Vindobona, in Kärnten, diesem Bundesland Österreichs, wo 40% der Bevölkerung für die BZÖ gestimmt hat, dort hat ein Landwirtschaftler vor ein paar Jahrhunderten diese Bronzestatue beim Pflügen gefunden. Was für ein Glück!
Weiter in der Sammlung wird uns die etruskische Sprache beigebracht... "die Ähnlichkeit ist so flagrant (mit unserem Alphabet), das mußte mich verwirren!"...
Und mit diesem Alphabet bin ich dann wieder hinaus in die Realität gegangen und habe versucht, sie zu entziffern. Gleich beim KHM ist das Parlament, und da ich von einem Freund ein SMS mit keinem anderen Wort als "Auswandern!" bekommen habe, bin ich eilig aufs Parlament zugegangen. Dort gab es schon das Team von ATV, einem eher schlechten österreichischen Fernsehsender, das mir übers Thema "Wahl 08" informiert hat: "29% SPÖ, 25% ÖVP... 18% FPÖ und 11% BZÖ... des is a schas... des woar aba zu'rwoa'tn"... tja, ich hab mich bedanken und bin weiter spazieren gegangen. Das Leben geht ruhig weiter hier. Eis schmeckt wie Eis vor der Wahl. Schnitzel sicher gleich so, wobei ich seither noch keinen blau-orangen Schnitzel verzehrt habe. Den Leuten ist die Politik wurscht, "solange sie uns in Ruhe lassen, ma is g'hupf' wie g'hatsch'!"... hinter den Kulissen sind aber die Meinungen gespaltet. Die ersten sind der Meinung, es kommt sicher eine große Koalition. Die Anderen meinen, das kommt gar nicht in Frage: es kommt sicher eine blau-orange-schwarze Koalition wie im Jahr 2000 schon erlebt. Und ich als guter Wiener sage: "schau ma mal!"
Monday, September 15, 2008
Spot on Jiddischkeit: Teil 2
Das war ein Sonntag in Wien wie noch nie erlebt! Dieses Festival war eigentlich Spitze! Heute ging's um 16 Uhr los mit Kinderliedern in verschieden Sprachen, Jiddisch auch,
Hulyet, hulyet, kinderlach
Kol zman ir zent ying
Veil fun friling biz tsum vinter
Iz a katzen spring
...von Timna Brauer und Elias Meiri. Dann um 17 Uhr habe ich das Amber Trio Jerusalem gehört. Sie haben 2 Stücke klassischer Musik gespielt, davon eines von Yehezkel Braun. Dann, um 18 Uhr, habe ich den Yaron Hermann, einen Pianisten aus Tel Aviv, gesehen. Der is großartig! Er spürt die Musik sehr intensiv und sein Gesicht ist voll davon geprägt. Seine Züge, sein Atem, die Bewegungen... das ganze Körper bricht durch die Kraft der Musik aus! Die Impro ist auch voll dabei und der Künstler wirkt fast wie in einem Amok. Also ja, voll beeindruckt war ich da. Nachher hat das Acoustic Project von Idan Raichel gespielt. Ein bißchen ähnlich wie Boom Pam gestern, sie spielen auch Musik aus den möglichst verschiedenen Quellen und Einflüssen, dazu haben zwei Sängerinnen toll mitgemacht.
Nachher um 20 Uhr 30 gab es ein Kantorenkonzert mit Liedern aus den Gebeten, gesungen vom Oberkantor der Synagoge in der Seitenstettengasse. Das war auch schön und interessant. Am Ende der Aufführung haben sie ein Lied Shalom für Israel und die ganze Welt gesungen. Eindrucksvoll!... Das ist aber noch nicht fertig! Ich war ja fleißig dran! Um 22 Uhr hat David Krakauer und sein Trio gespielt. Die sind ja großartig !!!
Zum Schluß war es auch voll lustig. Der DJ Adam - Edek Bartz - war ab 23 Uhr da open end. Leider war fast niemand da - wegen Sonntag Abend + Wien (das sage ich nicht, das hat ein Österreicher, a Werner sogar, selber gesagt :-)... aber das Personal vom Konzerthaus war da und hat wirklich alles dran gesetzt! Genau sowie für die Organisation des Festivals. Das war einfach super und bereichernd! Shalom al Israel!
Sunday, September 14, 2008
Spot on Jiddischkeit
Wow wow wow, gestern war ich im ersten Teil vom Festival Spot on Jiddischkeit !!! Das war großartig! Eine tolle Ouvertüre mit der Klezmer-Darbietung vom Giora Feidman Trio. Hava Nagila natürlich war dabei uvm.
Alle Künstler trugen die Stimme des Shaloms Israels und gefühlsreich war es am Ende des ersten Konzertes: das letzte Lied war den drei Kindern Feidmans gewidmet, die abdienen und jeden Tag ihr Leben riskieren. "Wir Israelis und Palenstinenser wollen in Friede und zusammen leben", hat er uns zugesichert. "Es sind nur wenige korrupten Menschen, die die Situation antreiben. Es ist wichtig für unsere Kinder, damit wir sie auch gut erziehen können, dass wir eine Lösung finden und in Friede leben." Nach dem letzten Lied hat das Publikum still den Großen Saal verlassen. Emotion.
Die Chava Alberstein war auch dabei. Sie hat uns schöne Lieder gesungen, eines davon hat sie dem Yitzhak Rabin gewidmet und dazu gesagt: "the dream of peace is still alive".
Nach Mitternacht haben wir uns die letzte Gruppe angeschaut: Boom Pam. Das war eine Mischung aus den verschiedensten Musikquellen... arabisch, jüdisch, Klezmer, Rock... toll !
Alle Künstler trugen die Stimme des Shaloms Israels und gefühlsreich war es am Ende des ersten Konzertes: das letzte Lied war den drei Kindern Feidmans gewidmet, die abdienen und jeden Tag ihr Leben riskieren. "Wir Israelis und Palenstinenser wollen in Friede und zusammen leben", hat er uns zugesichert. "Es sind nur wenige korrupten Menschen, die die Situation antreiben. Es ist wichtig für unsere Kinder, damit wir sie auch gut erziehen können, dass wir eine Lösung finden und in Friede leben." Nach dem letzten Lied hat das Publikum still den Großen Saal verlassen. Emotion.
Die Chava Alberstein war auch dabei. Sie hat uns schöne Lieder gesungen, eines davon hat sie dem Yitzhak Rabin gewidmet und dazu gesagt: "the dream of peace is still alive".
Nach Mitternacht haben wir uns die letzte Gruppe angeschaut: Boom Pam. Das war eine Mischung aus den verschiedensten Musikquellen... arabisch, jüdisch, Klezmer, Rock... toll !
Tuesday, September 09, 2008
Juden auf Wanderschaft
"Der Weg der neuen Bildung geht
Von Humanität
Durch Nationalität
Zur Bestialität"
Also ja...
Von Humanität
Durch Nationalität
Zur Bestialität
Der Grillparzer war weder patschert noch patzert; er hat die westliche Weltanschauung sehr gut zusammengefasst!
Von Humanität
Durch Nationalität
Zur Bestialität"
Das sagte Grillparzer. Und jetzt, dass ich "Juden auf Wanderschaft" von Joseph Roth gelesen habe, denke ich mir, die westliche Weltanschauung sei ein riesiger Blödsinn! Warum? Weshalb? Nenn mir mal die Gründe (wie der Wartke es sagt :-). Tja, die Menschen werden dazu ermuntert, sich auf ein Land zu identifizieren, während es eigentlich nicht notwendig ist, und wie ein kreiertes Bedürfnis auf uns wirkt. Wenn die österreichisch-ungarische Monarchie so lange hielt, war es eigentlich nur, weil die verschiedenen Völker im Osten lange keinen Sinn für das Vaterland äußerten, und ihnen war es also egal, an welchem Land sie gehörten, solange sie als Volk existieren durften. Das ist zum Beispiel der Fall der Juden gewesen, bis sie Israel neu besiedelt haben.
Joseph Roth ist der Meinung, daß ein Land nur Hemmnisse schafft. Er kritisiert die westliche Weltanschauung und bringt einen neuen Verstand von der Weltgeschichte. Sicher ein Lesetipp für Jiddischkeitsliebhaber !
Joseph Roth ist der Meinung, daß ein Land nur Hemmnisse schafft. Er kritisiert die westliche Weltanschauung und bringt einen neuen Verstand von der Weltgeschichte. Sicher ein Lesetipp für Jiddischkeitsliebhaber !
Also ja...
Von Humanität
Durch Nationalität
Zur Bestialität
Der Grillparzer war weder patschert noch patzert; er hat die westliche Weltanschauung sehr gut zusammengefasst!
Saturday, August 30, 2008
Seifenblasen und Stadt reinigen
Petits pois carottes: c'est possible!
C'est nouveau ça vient de sortir! Les boîtes de petits pois carottes envahissent les rayons des supermarchés autrichiens: Bonduelle a lancé l'offensive en attaquant de face et ça marche! Les bons petits pois du jardin - le jardin d'Eden peut-être? - sont maintenant fraîchement mélangés aux carottes ou carottinettes. Mmmmh! Pour bien sûr un maximum de bon goût et une saveur inaltérée. Qui irait acheté un produit pour une raison contraire?
Mais comment utiliser ce mix ô combien original et novateur et l'insérer dans nos bons petits plats cuisinés? Une idée de recette qui rend assez bien: le blanc de poulet à la crème et... aux petits pois carottes, ça tombe bien. Faire cuire dans un bout d'astra le blanc de poulet des deux côtés à grande flamme, poivrer, saler, ajouter du thym ou du romarin suivant l'humeur, ajouter de l'eau, laisser évaporer, ajouter la crème fraîche, de préférence liquide, ajouter de l'eau pour diluer, porter à ébullition, verser délicatement le mix petits pois carottes dans la poêle et laisser mijoter le tout trois minutes. Ajouter éventuellement un peu d'eau si le cuistot en ressent le besoin. Servir. Manger.
Que ferions-nous sans nos petits pois carottes?
Nous serions sans doute encore en train de chercher l'équilibre judicieux entre petits pois et carottes sortis respectivement de deux boîtes de conserve distinctes. Maintenant, plus besoin de se prendre la tête avec ces équations compliquées. Les carottes sont moins chères que les petits pois. Faire un mix petit pois carottes n'est donc pas un problème pour Bonduelle, qui sait très bien que plus il y a de carottinettes dans les boîtes, plus leur profit sera important, étant donné que la conserve est vendue au prix des petits pois. Qui aurait cru que la carottinette puisse devenir le porte-drapeau du capitalisme exacerbé?
Mais comment utiliser ce mix ô combien original et novateur et l'insérer dans nos bons petits plats cuisinés? Une idée de recette qui rend assez bien: le blanc de poulet à la crème et... aux petits pois carottes, ça tombe bien. Faire cuire dans un bout d'astra le blanc de poulet des deux côtés à grande flamme, poivrer, saler, ajouter du thym ou du romarin suivant l'humeur, ajouter de l'eau, laisser évaporer, ajouter la crème fraîche, de préférence liquide, ajouter de l'eau pour diluer, porter à ébullition, verser délicatement le mix petits pois carottes dans la poêle et laisser mijoter le tout trois minutes. Ajouter éventuellement un peu d'eau si le cuistot en ressent le besoin. Servir. Manger.
Que ferions-nous sans nos petits pois carottes?
Nous serions sans doute encore en train de chercher l'équilibre judicieux entre petits pois et carottes sortis respectivement de deux boîtes de conserve distinctes. Maintenant, plus besoin de se prendre la tête avec ces équations compliquées. Les carottes sont moins chères que les petits pois. Faire un mix petit pois carottes n'est donc pas un problème pour Bonduelle, qui sait très bien que plus il y a de carottinettes dans les boîtes, plus leur profit sera important, étant donné que la conserve est vendue au prix des petits pois. Qui aurait cru que la carottinette puisse devenir le porte-drapeau du capitalisme exacerbé?
Sunday, August 24, 2008
Le Mohr im Hemd est innocent
On n'imagine pas le danger que peut représenter un simple gateau, ici un Mohr im Hemd, "nègre en chemise" littéralement, dont le nom est, il faut le reconnaître, plutôt tendancieux. Levez la cuillère à la santé de vos invités, et vous devenez soudain sans vous en rendre compte le pire dictateur qui ait existé...
Cela rappelle bien entendu le passage suivant du film "Le Grand Restaurant" avec Louis de Funès:
Wednesday, August 20, 2008
בבית כנסת - in der Synagoge
Das ist der Innenraum von der Hauptsynagoge in Wien, in der Seitenstättengasse im ersten Bezirk. Die Besichtigung habe ich gemacht. Da lernt man viel übers jüdische Leben in Wien seit Jahrhunderten. 1782 hat Josef II. ein Toleranzgesetz verkündet, in dem die religiösen Minderheiten geschutzt waren. Seit diesem Jahr hat sich die jüdische Gemeinde in Wien sehr entwickelt, wobei es auch ein paar Hürden gegeben hat. Zum Beispiel war der Karl Lueger Bürgermeister von Wien und öffentlich antisemitisch. Der hat den jungen Hitler, der zu seiner Zeit auch in Wien umgegangen ist, voll inspiriert.
Nach dem 2. Weltkrieg hat man in Wien schon befürchtet, dass die Juden nicht zurückkommen. Was teilweise passiert ist, und die Regierung hat sich manchmal echt viel bemüht, damit ein paar Autoren zurück nach Wien kommen, die seit Jahren in New York ihren Weg gefunden hatten. Das ist glaube ich der Fall von Torberg, der nach Jahren in Amerika nach Wien zurückgekehrt ist. Da hat er sich gewundert, daß ab 2 Uhr in der Früh keine Lokale mehr offen sind!
Die meisten Juden, die sonst nach Wien gekommen sind, sind die Orthodoxen, die in den 70er Jahren vor dem sowjetischen Joch geflohen sind. Heutzutage ist daher die Gemeinde viel konservativer als früher und streng religiös.
Nach dem 2. Weltkrieg hat man in Wien schon befürchtet, dass die Juden nicht zurückkommen. Was teilweise passiert ist, und die Regierung hat sich manchmal echt viel bemüht, damit ein paar Autoren zurück nach Wien kommen, die seit Jahren in New York ihren Weg gefunden hatten. Das ist glaube ich der Fall von Torberg, der nach Jahren in Amerika nach Wien zurückgekehrt ist. Da hat er sich gewundert, daß ab 2 Uhr in der Früh keine Lokale mehr offen sind!
Die meisten Juden, die sonst nach Wien gekommen sind, sind die Orthodoxen, die in den 70er Jahren vor dem sowjetischen Joch geflohen sind. Heutzutage ist daher die Gemeinde viel konservativer als früher und streng religiös.
Monday, August 18, 2008
Im jüdischen Museum
Letzten Sonntag war ich im jüdischen Museum. Mehrere Ausstellungen sind zurzeit dort zu sehen. Was mir besonders gefallen hat, ist die Ausstellung über das Leben der Juden, die im Ausland Zuflucht gesucht haben: in Paris (und später in der freien Zone) und in New York. Dort haben sie sich sofort in die Bevölkerung integriert und ihr berufliches Leben erfolgreich weitergeführt. Unten seht ihr die Werke von Lilly Joss Reich, die Lebensszenen in den Jahren 1940-45 in New York aufgenommen hat.
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