In Lyon ist es am Schönsten bei Nacht, wenn Hundegackerl nicht mehr zu sehen sind! Die Stadtgemeinde Grand Lyon hat die Stadt mit guter Beleuchtung besorgt, zuerst, damit man Hundekot in der Nacht ausweichen kann, aber auch - und die Fotos zeigen dies - damit die Sehenswürdigkeiten schön aufscheinen. Lassen wir uns über die Stadt schweben...
Monday, December 29, 2008
Sunday, December 28, 2008
Sunday, December 21, 2008
Monday, December 15, 2008
Vorweihnachtswahnsinn
Einen Sonntag unter dem Motto "alles närrisch"! Die Runde von den schönsten Christkindlmärkten innerhalb von einem Nachmittag und von den besten Cafés und Szenenlokalen innerhalb von einem Abend.
Saturday, December 13, 2008
Hollywood ending
A great movie with a lovely ending: "An affair to remember". I found the endings of two different releases. The first clip is from 1939, with the French actor Charles Boyer. The second clip is from 1957, with Cary Grant and Deborah Kerr. Enjoy and do not forget your handkerchief!
Thursday, December 11, 2008
Gut tun tut gut!
Bitte seid zu Weihnachten warmherzig und unterstützt die Petition gegen die GIS-Gebühr !
HIER KLICKEN UND UNTERSCHREIBEN : http://www.weg-mit-den-orf-gebuehren.at/
Danke!
Tuesday, December 09, 2008
Quand la moutarde me monte au nez...
Vous la connaissez bien, la moutarde de Dijon. Voila que le groupe Amora-Maille, lui-même appartenant à la multinationale Unilever, veut fermer l'usine de Dijon, pour des raisons uniquement économiques. N'est-ce pas là un affront à l'histoire et à l'humanité?
Je ne connais aucun chiffre. Peut-être que l'usine de Dijon n'est pas aussi productive que d'autres usines? Sans doute produire la moutarde "de Dijon" en Chine, ou en Europe de l'Est et en Turquie comme Unilever le fait déjà, revient moins cher. Mais en ce cas, à quoi bon appeler la moutarde de Dijon, si la ville de Dijon n'a plus rien à voir avec la production?
On est dans une phase du capitalisme qui me déplaît et me fait monter la moutarde au nez! Cela me rappelle l'histoire des herbes de Provence qui en fait poussent dans des serres en Pologne. Les gens n'auraient-ils donc aucune implication sentimentale dans ce qu'ils font?
Je veux bien croire que les actionnaires de Unilever, qui se prélassent au soleil californien entre Santa Monica et Beverly Hills, portent peu d'intérêt à ce problème de lien sentimental à ce qu'on produit: ils touchent des dividendes de Unilever, et se réjouissent des bons résultats, quoique l'on fasse pour les obtenir. Et je vois ce problème qui chaque jour devient plus grand et m'indigne d'avoir à travailler pour une entreprise: les objectifs des entreprises se détachent de plus en plus des objectifs de l'humanité, car on est passé d'un capitalisme entrepreneur à un capitalisme financier. Sans doute l'écart entre les deux objectifs n'a jamais été aussi grand que depuis ces dernières années. On fixe nos yeux sur les indicateurs boursiers et on fait par conséquent n'importe quoi. Sur ce, je vais me faire un bon steak aux herbes sauce moutarde, histoire de me calmer.
Je ne connais aucun chiffre. Peut-être que l'usine de Dijon n'est pas aussi productive que d'autres usines? Sans doute produire la moutarde "de Dijon" en Chine, ou en Europe de l'Est et en Turquie comme Unilever le fait déjà, revient moins cher. Mais en ce cas, à quoi bon appeler la moutarde de Dijon, si la ville de Dijon n'a plus rien à voir avec la production?
On est dans une phase du capitalisme qui me déplaît et me fait monter la moutarde au nez! Cela me rappelle l'histoire des herbes de Provence qui en fait poussent dans des serres en Pologne. Les gens n'auraient-ils donc aucune implication sentimentale dans ce qu'ils font?
Je veux bien croire que les actionnaires de Unilever, qui se prélassent au soleil californien entre Santa Monica et Beverly Hills, portent peu d'intérêt à ce problème de lien sentimental à ce qu'on produit: ils touchent des dividendes de Unilever, et se réjouissent des bons résultats, quoique l'on fasse pour les obtenir. Et je vois ce problème qui chaque jour devient plus grand et m'indigne d'avoir à travailler pour une entreprise: les objectifs des entreprises se détachent de plus en plus des objectifs de l'humanité, car on est passé d'un capitalisme entrepreneur à un capitalisme financier. Sans doute l'écart entre les deux objectifs n'a jamais été aussi grand que depuis ces dernières années. On fixe nos yeux sur les indicateurs boursiers et on fait par conséquent n'importe quoi. Sur ce, je vais me faire un bon steak aux herbes sauce moutarde, histoire de me calmer.
Nouveau type de vers?
La laideur
Elle se déguise et s'immisce dans les coeurs
La laideur
Profond sentiment de dégoût je me hais
je me hais
Je crains dans le regard des autres me voir
Le miroir
Qui piétine raille et soupire attentif
Pendentif
Pendule temporel aux couleurs criardes
Schiele hard !
____
Le pêcher
Son fruit a la peau velue et sucrée
Le pêcher
Pêche d'Adam, pêcher originel
Passionnel
Je chante ta douceur sur mes papilles
A Séville
Où la chaleur emprisonne mon coeur
Sonne l'heure
Sur les clochers rougis par le soleil
Je m'éveille !
Elle se déguise et s'immisce dans les coeurs
La laideur
Profond sentiment de dégoût je me hais
je me hais
Je crains dans le regard des autres me voir
Le miroir
Qui piétine raille et soupire attentif
Pendentif
Pendule temporel aux couleurs criardes
Schiele hard !
____
Le pêcher
Son fruit a la peau velue et sucrée
Le pêcher
Pêche d'Adam, pêcher originel
Passionnel
Je chante ta douceur sur mes papilles
A Séville
Où la chaleur emprisonne mon coeur
Sonne l'heure
Sur les clochers rougis par le soleil
Je m'éveille !
Monday, December 08, 2008
Wiener Skyline im Winter
Tuesday, December 02, 2008
Neue Mode für die Stewardessen von Austrian Airlines
Jeder hat gedacht, die Fluglinie Austrian Airlines macht Pleite. Und das ist ja richtig. Aber Pleite kann man arm und traurig machen oder kühner und modisch. Für die letztere Variante hat sich unsere Fluglinie entschieden. Schaut mal die Szene, das ich während meiner Rückreise aus Paris im Flugzeug geknipst habe. Auf den Bildschirmen stand -60°c draußen, 40°c drinnen!
Monday, December 01, 2008
Im Tempel des Konsums - Teil 2
Einkaufen bringt Freude, Hochstimmung, Euphorie! Der Dunst, der aus dem Einkaufswagerl verströmt wird, bringt eine unkonventionnelle Happiness. Während man ordentlich zur Kassa gehen könnte, wird man plötzlich voller Fantasie. Schokolade, Salami, Käse! So viele gute Sachen haben wir jetzt gekauft! Maschu maschu! Die Neonlichter beleuchten unseren Wahn. Aber das Tageslicht ist nicht sehr weit und weist uns den richtigen Weg: wir verlassen den Supermarkt oder der Supermarkt käuert uns wieder. Undefinierbar. Wir sind draußen, es ist das Wichtigste.
Im Tempel des Konsums
Letzten Samstag haben wir einen Ausflug ins Tempel des Konsums gemacht: METRO. Ganz angeregt waren wir vor dem Hineingehen! Und dann haben wir uns in den verschiedenen Abteilungen verloren... oder ist es eine Art Versteckspiel? Die Dosen sind manchmal soooo groß und dick und hoch, daß sie ein ganzes Stück meines weißen Leibs (um die Worten Salomes hier hineinzubringen) verstecken können!
Wer ißt und was wird gegessen?... Sagt man nicht, du bist, was du ißt? Es ist etwas verwirrend. Der Supermarkt hat uns verschlungen. Wie kommt man davon hinaus? Ganz einfach: jeder weiß, daß die Reinigungsmittel beim Ausgang sind. Sobald diese Abteilung erreicht ist, ist man gerettet.
Die Riesengurken in Riesenglasbehälter!
Riesengeklopftewienerschnitzel gebrauchen Riesenöldosen!
Arroganz á la francaise
Es ist kein Zufall, wenn die französischen klassischen Theaterstücke eine Vielfältigkeit von Gefühlen darstellen. Franzosen sind ja sehr gut dran, wenn es um Gefühle geht. Es gibt sogar, meiner Meinung nach, Gefühle, die man nur in einem bestimmten Ort empfinden kann. Normalerweise denkt man sofort an Sehnsucht, Freude, ich meine aber hier Arroganz.
Nicht später als während meiner letzten Reise in Frankreich habe ich ein Gefühl bekommen, dass ich bisher nur in Frankreich bekam. Es ist eine Mischung zwischen Arroganz und Verachtung, Gleichgültigkeit und Niederträchtigkeit. Es passiert wenn jemand, dessen Tat Ihnen etwas wichtig ist, Sie nicht so gern hat, sagt es aber nicht, und spricht zum Beispiel mit Anderen, die nebenbei sitzen, über Sachen, die Sie auch betreffen, tut aber so, als ob Sie nicht da oder nicht betroffen wären. So eine verzwickte Situation findet man nur in Frankreich!... und es ist besonders unangenehm, sowas zu erleben.
In Österreich ist mir so etwas bis jetzt nie passiert, wahrscheinlich, da die Österreicher allgemein gesehen ehrlicher sind!
Nicht später als während meiner letzten Reise in Frankreich habe ich ein Gefühl bekommen, dass ich bisher nur in Frankreich bekam. Es ist eine Mischung zwischen Arroganz und Verachtung, Gleichgültigkeit und Niederträchtigkeit. Es passiert wenn jemand, dessen Tat Ihnen etwas wichtig ist, Sie nicht so gern hat, sagt es aber nicht, und spricht zum Beispiel mit Anderen, die nebenbei sitzen, über Sachen, die Sie auch betreffen, tut aber so, als ob Sie nicht da oder nicht betroffen wären. So eine verzwickte Situation findet man nur in Frankreich!... und es ist besonders unangenehm, sowas zu erleben.
In Österreich ist mir so etwas bis jetzt nie passiert, wahrscheinlich, da die Österreicher allgemein gesehen ehrlicher sind!
Thursday, November 20, 2008
Alex dans le métro
Après Zazie, c'était à mon tour d'aller dans le métro (sauf que moi, j'ai réussi à y aller!). Et qu'ai-je vu dans le métro? Des pubs et des pubs, mais aussi des pubs plus marrantes que d'autres, comme c'est le cas de celle-ci en photo! En plus, c'était pour moi une révélation: Rachida Dati est enceinte!?!...
Wednesday, November 19, 2008
La grande oeuvre de Jacob
C’était pendant les années Klimt de Vienne, alors que l’Art Nouveau faisait ses premières expositions en Ville. Jacob savait qu’il ne vivrait probablement pas le changement de siècle. Après une longue vie remplie par tant d’heureux événements, il était temps, pensait-il sagement, de transmettre tout ce que la vie lui avait enseigné. Son fils Moritz avait repris le magasin de vêtements avec sa femme voilà quelques années, et les affaires prospéraient. Jacob était un juif progressif et avait éduqué son fils de façon à ce qu’il s’assimile entièrement à la société autrichienne.
Cependant, c’est avec beaucoup d’embarras qu’il constata avoir déjà tout donné : il avait passé sa vie à faire découvrir et à enseigner. Il ne pouvait plus rien apprendre de nouveau à son fils ! Que va-t-il rester dans les mémoires ? En passant ma vie à donner, me voici incapable de laisser un souvenir impérissable, puisque ma vie se confond finalement à celle de mon propre enfant ! Ce sentiment le dérangea, puis petit à petit le troubla à tel point qu’il en fit part à son fils.
Moritz ne sut que répondre. Il était abasourdi qu’un tel problème se pose à son cher père. Il en parla alors à sa femme. Elle était dotée d’un véritable sens de la famille. Moritz savait qu’il pouvait compter sur elle. Elle lui répondit avec sagesse : « transmettre le savoir familial n’est pas quelque chose d’instantané. C’est le travail de toute une vie, de celle de ton père. Organisons une fête pour saluer son œuvre ! »
C’est ainsi que Moritz se rendit chez le rabbin, qui approuva cette idée originale.
Tous se réunirent pour l’occasion : la famille proche à Vienne, les cousins de Hongrie du côté de Fünfkirchen et de Budapest. La communauté du 6ème arrondissement autour du rabbin prit aussi part à la fête. Ce soir-là, Jacob était ravi et comprit que l’œuvre de toute sa vie resterait dans les mémoires. Je peux partir sereinement, pensa-t-il alors.
C’est ce soir-là qu’il ferma les paupières pour la dernière fois, un sourire éternel inscrit sur le visage.
Cependant, c’est avec beaucoup d’embarras qu’il constata avoir déjà tout donné : il avait passé sa vie à faire découvrir et à enseigner. Il ne pouvait plus rien apprendre de nouveau à son fils ! Que va-t-il rester dans les mémoires ? En passant ma vie à donner, me voici incapable de laisser un souvenir impérissable, puisque ma vie se confond finalement à celle de mon propre enfant ! Ce sentiment le dérangea, puis petit à petit le troubla à tel point qu’il en fit part à son fils.
Moritz ne sut que répondre. Il était abasourdi qu’un tel problème se pose à son cher père. Il en parla alors à sa femme. Elle était dotée d’un véritable sens de la famille. Moritz savait qu’il pouvait compter sur elle. Elle lui répondit avec sagesse : « transmettre le savoir familial n’est pas quelque chose d’instantané. C’est le travail de toute une vie, de celle de ton père. Organisons une fête pour saluer son œuvre ! »
C’est ainsi que Moritz se rendit chez le rabbin, qui approuva cette idée originale.
Tous se réunirent pour l’occasion : la famille proche à Vienne, les cousins de Hongrie du côté de Fünfkirchen et de Budapest. La communauté du 6ème arrondissement autour du rabbin prit aussi part à la fête. Ce soir-là, Jacob était ravi et comprit que l’œuvre de toute sa vie resterait dans les mémoires. Je peux partir sereinement, pensa-t-il alors.
C’est ce soir-là qu’il ferma les paupières pour la dernière fois, un sourire éternel inscrit sur le visage.
Glamour bei den Galeries Lafayette
Nun, was für tolle Geschäfte gibt es in Frankreich nicht! Die Galerie Lafayette riechen nach französischem Glamour und es gefäääääällt mir so sehr! Letztes Wochenende habe ich die Weihnachtsschaufenster angeschaut. Es ist unheimlich modisch und französisch... Kann hemmungslos genossen werden! :-)
Sunday, November 09, 2008
70 Jahre nach den Novemberpogromen: Besichtigung des Währinger Friedhofs
Bilder aus dem jüdischen Friedhof in Währing...
Friday, November 07, 2008
Diese Österreicher, die in Österreich nicht integriert sind...
Am Abend der ORF-Wahlnacht ist ein alter Journalist in Pension, Klaus Emmerich, mit Aussagen über Schwarze und Barack Obama aufgefallen... "ich möchte mich nicht von Schwarzen dirigieren lassen", "das wäre gleich als wir in Österreich ein Türke an die Macht setzen würden" uvm. rohe, unerträgliche und unzulässige Aussagen sind vorgebracht worden. Warum er aus der Studiobühne nicht rausgeschmießen worden ist bleibt noch unklar.
Vorgestern, als ich im Supermarkt war, hat eine alte etwas dickleibige Frau angefangen, eine Türkin bei der anderen Kassa gegenüber zu beschimpfen. Warum? Das weiß ich nicht. Ich war beim Zusammenstoß nicht da. Zuerst hab ich mir gedacht, die alte Frau sei etwas bescheuert und brauche Medikamente gegen Schizophrenie. Dann höre ich die Türkin gegenüber sagen: "Ent-schul-digung!". Die alte Frau: "Des ko ned san, des ma so a frech a Sproche hot...." Und die Türkin wieder, nach ein paar Sekunden: "Du, ich hab Entschuldigung gesagt!..." Die alte Frau: "Na, und sie is dozue unhöflich, ned, vielleucht sog ma du bei eich doat in die Tüakei, oba hie in Östeareich tu ma di Leit ned so ansprechn..." uvmB. (und viel mehr Blödsinn!). Ich war gleich beim Zahlen, als alles geschah... und wollte irgendwie, dass diese Kakophonie zu Ende kommt, hab aber den Mund zugehalten, was ich mir jetzt wirklich vorwerfe. Und warum haben die Leute um mich auch nichts gesagt? Alle haben so getan, als würden sie nicht einmal bemerken, was da passiert... Ist das nicht sinnlos? Nächstes Mal sage ich schon was wie "du Schastrommel, halt mal die Klappe!"... oder etwas höflicher, damit meine empfindlichen Ohren sich dieses Schmarrn sparen können.
Und jetzt stolpert man über das größte Problem, das in Österreich ca. 30% der Bevölkerung betrifft: Integration! Wie kann man jene Österreicher integrieren, die Österreicher ausländischer Herkunft nicht leiden können? Da steht die Politik ohne Antwort. Das Problem haben sie wahrscheinlich nicht einmal gefasst.
Vorgestern, als ich im Supermarkt war, hat eine alte etwas dickleibige Frau angefangen, eine Türkin bei der anderen Kassa gegenüber zu beschimpfen. Warum? Das weiß ich nicht. Ich war beim Zusammenstoß nicht da. Zuerst hab ich mir gedacht, die alte Frau sei etwas bescheuert und brauche Medikamente gegen Schizophrenie. Dann höre ich die Türkin gegenüber sagen: "Ent-schul-digung!". Die alte Frau: "Des ko ned san, des ma so a frech a Sproche hot...." Und die Türkin wieder, nach ein paar Sekunden: "Du, ich hab Entschuldigung gesagt!..." Die alte Frau: "Na, und sie is dozue unhöflich, ned, vielleucht sog ma du bei eich doat in die Tüakei, oba hie in Östeareich tu ma di Leit ned so ansprechn..." uvmB. (und viel mehr Blödsinn!). Ich war gleich beim Zahlen, als alles geschah... und wollte irgendwie, dass diese Kakophonie zu Ende kommt, hab aber den Mund zugehalten, was ich mir jetzt wirklich vorwerfe. Und warum haben die Leute um mich auch nichts gesagt? Alle haben so getan, als würden sie nicht einmal bemerken, was da passiert... Ist das nicht sinnlos? Nächstes Mal sage ich schon was wie "du Schastrommel, halt mal die Klappe!"... oder etwas höflicher, damit meine empfindlichen Ohren sich dieses Schmarrn sparen können.
Und jetzt stolpert man über das größte Problem, das in Österreich ca. 30% der Bevölkerung betrifft: Integration! Wie kann man jene Österreicher integrieren, die Österreicher ausländischer Herkunft nicht leiden können? Da steht die Politik ohne Antwort. Das Problem haben sie wahrscheinlich nicht einmal gefasst.
Sunday, November 02, 2008
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